Conformément
à l’arrêté ministériel fixant les dates de la rentrée pour l’année
scolaire 2012-2013, les services administratifs des établissements sont
ouverts depuis lundi dernier, pour accueillir les enseignants. Il
s’agit, en fait, de la rentrée administrative des chefs d’établissements
et des enseignants en attendant celle des élèves à partir du lundi
prochain, 1er octobre.
Toutefois, la première journée du retour des enseignants dans les écoles n’a pas connu une grande affluence. Au lycée Said Mohamed Cheikh, le principal établissement public d’enseignement secondaire du pays, cinquante-trois professeurs sur les cent trente que compte le lycée se sont présentés dans la journée de lundi.
Le censeur du lycée public de la capitale a soutenu que “ les autorités de l’Education doivent convier le syndicat des enseignants, rapidement, pour enfin trouver une solution, une bonne fois pour toute“. Car le souci de Chakour Takia et de pouvoir respecter le calendrier scolaire de cette année et éviter de bouleverser les élèves en plein milieu d’année et en période d’examen.
Pour justifier la faible mobilisation des enseignants en ce premier jour d’école, le directeur général du collège d’enseignement secondaire de La Coulée, à Moroni, croit que “les dates de cette rentrée n’ont pas été communiquées comme il se doit. J’appelle les professeurs et les élèves de se présenter en masse lundi prochain”. Daroueche Mouigni a affirmé, cependant, que les professeurs se présentent au collège, pour préparer les emplois du temps et le programme de l’année scolaire. A l’Inspection générale de l’Education nationale (Igen), on fait la différence nette entre la rentrée du lundi 24 septembre qui concerne les chefs des établissements et les professeurs et celle de lundi prochain.
“C’est à partir de la semaine prochaine que nous allons faire une évaluation globale de la rentrée de cette année“, a précisé Amroine Darkaoui, le doyen de l’inspection. Et pour écarter tout spectre d’une grève prochaine dans l’enseignement, l’inspecteur général de l’Education a rappelé que la question du dialogue social a été au centre des travaux de la dernière conférence nationale de l’Education.
“Le dialogue social, permanent entre le syndicat des enseignants et les autorités de l’éducation est nécessaire”, a-t-il insisté avant de préciser que pour cette rentrée un dialogue est urgent entre le syndicat des enseignants et les autorités de l’Education pour trouver une solution fiable pour l’année scolaire 2012-2013.
A Andhumati
Toutefois, la première journée du retour des enseignants dans les écoles n’a pas connu une grande affluence. Au lycée Said Mohamed Cheikh, le principal établissement public d’enseignement secondaire du pays, cinquante-trois professeurs sur les cent trente que compte le lycée se sont présentés dans la journée de lundi.
Le censeur du lycée public de la capitale a soutenu que “ les autorités de l’Education doivent convier le syndicat des enseignants, rapidement, pour enfin trouver une solution, une bonne fois pour toute“. Car le souci de Chakour Takia et de pouvoir respecter le calendrier scolaire de cette année et éviter de bouleverser les élèves en plein milieu d’année et en période d’examen.
Pour justifier la faible mobilisation des enseignants en ce premier jour d’école, le directeur général du collège d’enseignement secondaire de La Coulée, à Moroni, croit que “les dates de cette rentrée n’ont pas été communiquées comme il se doit. J’appelle les professeurs et les élèves de se présenter en masse lundi prochain”. Daroueche Mouigni a affirmé, cependant, que les professeurs se présentent au collège, pour préparer les emplois du temps et le programme de l’année scolaire. A l’Inspection générale de l’Education nationale (Igen), on fait la différence nette entre la rentrée du lundi 24 septembre qui concerne les chefs des établissements et les professeurs et celle de lundi prochain.
“C’est à partir de la semaine prochaine que nous allons faire une évaluation globale de la rentrée de cette année“, a précisé Amroine Darkaoui, le doyen de l’inspection. Et pour écarter tout spectre d’une grève prochaine dans l’enseignement, l’inspecteur général de l’Education a rappelé que la question du dialogue social a été au centre des travaux de la dernière conférence nationale de l’Education.
“Le dialogue social, permanent entre le syndicat des enseignants et les autorités de l’éducation est nécessaire”, a-t-il insisté avant de préciser que pour cette rentrée un dialogue est urgent entre le syndicat des enseignants et les autorités de l’Education pour trouver une solution fiable pour l’année scolaire 2012-2013.
A Andhumati
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